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utopie

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25 novembre 2008

Grande nouvelle!

 

Marie : Attention, une Merveille peut en cacher une autre! - Le bout du monde là où tout commence

Quel instant ce fut quand elle revint de la plus petite pièce de l'appartement en criant incrédule "Y EN A DEUX! OULALA SAM! Y EN A DEUX!". Le temps que je comprenne (non sans aide) que le "2" correspondait au nombre de bâtons affichés sur le test de grossesse quand il est positif et mon incompréhension (naïve) se transforma en joie.

http://samarie.canalblog.com


Ma vie prend véritablement sens quand j'ai appris que j'allais devenir père. Enfin, j'allais être investi d'une vraie mission et être concerné par autre chose que par ma petite personne. Etre responsable d'une vie autre que la sienne est un boulversement à la fois excitant mais aussi angoissant. J'ai encore du mal à réaliser que bientôt et pendant toute ma vie  je serai un adulte. Ce stade où on se doit d'être sérieux, raisonnable, bienveillant, rigoureux, sage, prévoyant, organisé ... est enfin arrivé. Ce n'est pas simple de gérer ce changement de statut puisqu'il faut à la fois continuer à rester soi-même, pour son équilibre personnel et marquer une rupture, pour son équilibre familial. L'insouciance n'est plus! Vive la réfléxion et la raison! Le temps des sacrifices est arrivé!

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31 août 2008

Eté 2008...

Deux souvenirs inoubliables marqueront cet été 2008: la randonnnée dans les Pyrénées ( totale plénitude ) et le concert d'Alain Bashung au festival du Bout du Monde ( fascinant ). Le premier m'a montré ô combien la nature et Marie sont mes deux plus grandes sources de bien-être. TOUS les ingrédients étaient présents pour me sentir tout-puissant : le silence visuel, la nudité auditive, l'effort subliminal, le climat de connivence et le vide psychique soit cinq jours d'état de grâce. Le second a été un instant d'une incroyable intensité où le temps s'est arrêté, où un monument ébranlé par la maladie m'a transporté à travers une musique hypnotique, une voix envoûtante, une danse psychotique: boulversant.

21 mai 2008

mes chagrins de prof...

Dans la famille "métiers qui visent une utopie", je voudrais l' "enseignant". Dans le genre rêveur pas réaliste, on ne peut pas faire mieux. Quelle profession fragile, naïve, courageuse, solitaire!!
Telle une balance, elle vacille prête à chuter tout ça parce qu'elle ne repose sur rien excepté l'espoir. L'enseignant (en général) croit. Il croit en l'homme, il croit aux progrès et l'élévation, au respect, au partage, à l'équité, à l'intégrité, à l'éthique, à la solidarité, à la santé, à la culture, à l'écologie, à la différence. Je ne mets pas ici l'enseignant sur un piédestal. Mais la question soulevée est de savoir s'il s'agit de la prétention ou de naïveté? Un professeur pense-t-il être parfait, bon et une référence pour la société ou simplement fou et malheureux? Croire suffit-il pour mener à bien son entreprise? L'enseignement n'est-il pas finalement une cause perdue? Le sujet est intarissable et mes questions envahissantes.

Une société sans Ecole est selon moi, vouée à l'échec si elle veut assurer sa pérennité, sa cohésion, sa force. L'Ecole n'est pas uniquement transmissive, nourricière mais aussi une sentinelle, protectrice, luttant contre toute menace. Elle n'apporte pas seulement des connaissances qui permettent à la société de s'élever intellectuellement ou techniquement, elle permet de s'élever humainement. L'Ecole est un garde fou guidant et défendant les êtres vers ce qui semble bon pour eux. Etre enseignant est une affaire d'abnégation, c'est sauvegarder des idéaux, des convictions en acceptant la part inaliénable des autres. La prétention n'est qu'une dérive très séduisante, souvent présente mais jamais conséquente.
Un enseignant qui ne croit pas, jette l'éponge. Ne plus croire, c'est ouvrir une brèche au laxisme, aux extrémismes, à la discrimination, aux conflits, à l'autoritarisme, aux pulsions les plus primaires. La mission d'un enseignant est énorme et fastidieuse tellement les enjeux sont essentiels pour une société. Or, à l'heure actuelle et plus que jamais, il est à contre courant. Personne ou si peu le suit dans sa démarche. Les valeurs de l'Ecole disparaissent, englouties par celle de la mondialisation. Les français se sont laissés corrompre, emmener, envahir par cette illusion de liberté. Comment lutter en classe contre le consumérisme, le zapping, la violence, l'efficience, le technicisme, la performance, l'individualisme? Des dizaines d'exemples quotidiens pourraient illustrer mes propos. La société évolue à une vitesse vertigineuse et je ne sais pas y faire face à mon échelle, dans une classe de CM2. Je crois aux changements mêmes minimes mais pour combien de temps? Pourquoi ai-je déjà le sentiment de ne servir à rien, de mettre des pansements qui ne collent pas. Chaque jour en classe, j'inculque des idéaux auxquels les hommes croient profondément mais qui ne s'appliquent peu ou prou à l'extérieur de l'école. Comment être crédible? Comment se mesurer au monde? Etre enseignant, c'est s'engager à être malheureux, différent, lucidement naïf et terriblement seul.
Nous formons de futurs monstres, leurs parents ne nous suivent déjà plus et l'Etat, alors seul soutien de taille jusqu'à lors nous abandonne ou plutôt nous oblige à le suivre. Le sentiment de solitude n'aura jamais été plus réel que maintenant. Le gouvernement propose tout le contraire de ce dont on a besoin. Le rouleau compresseur progresse, progresse...

J'ai mal.

 

19 mai 2008

"Diviser pour mieux régner"

arbeit

Telle est la direction de Sarkozy et de ses sous-fifres. Dernière crasse en date, le service minimum dans les écoles qui était la seule réplique du méchant Nicolas après les grèves de jeudi 15 mai. Parler du service minimum ou comment noyer le poisson. L'enseignement privé s'était pourtant mobilisé - manifestant certainement plus contre les prochains programmes que contre les suppressions de postes à la rentrée 2008 - c'est pour dire l'enjeu qu'il y avait derrière cette grève générale. Pourtant, l'action collective n'a pas su rivaliser avec cette mesure qui stérilise l'exercice du droit de grève. D'après un sondage CSA ( du mardi 13 mai), 60% des personnes interrogées approuvent ce dispositif de secours et 33% pensent que c'est une mauvaise chose. Le gouvernement sait diviser le peuple : c'est regrettable, dangereux, néfaste. Sa spécialité : monter les individus les uns contre les autres dans tous les domaines. Ce contre pied médiatique, démago, à la fois lâche et audacieux, odieux, insolent n'est qu'une stratégie montrant la perversité de nos dirigeants qui prônent officiellement la liberté et le bien-être de chacun mais officieusement l'individualisme, la négation de soi, le conformisme, la haine et l'autodestruction.

16 mai 2008

douceurs en kayak

Enfin le ciel moutonné mit ses menaces à exécution. Les hirondelles rasaient l'eau et les sternes manœuvraient avec aisance et rapidité dans les airs. La pluie fine tomba progressivement déposant délicatement ses gouttes sur mes verres jusqu'à ce que la surface de l'eau soit densément pointillée. La procession se dirigea vers cette zone qui paraissait aussi déserte qu'attirante. Le chahut des camarades restés à la plage était comme happé par le son reposant des pagaies et c'est alors qu'une impression de liberté et de bien-être m'immergea. La verdure des algues colonisait les fonds noirs du lac. Quelques hérons cendrés survolaient le cortège maladroit zigzaguant sans raison apparente. Bientôt, je vis des foulques parmi les iris sauvages guettant avec méfiance leur nid sous le regard stoïque des aigrettes, prostrées par la pluie. Des grèbes nous observèrent entre deux apnées et s'amusèrent à nous surprendre près des coques. Au loin, les flèches de la cathédrale me rappelaient la civilisation que je rejoignais sans hâte...

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16 mai 2008

aberration

Le commerce équitable, quelle idée remarquable et pourtant invraisemblable il y a encore quelques années! Le commerce équitable ou comment rémunérer dignement les (petits) producteurs. Cette semaine, j'ai comparé deux publicités: même produit, enseignes différentes (Carrefour n°2 mondial de la grande distribution /intermarché).

carrefour2

On peut remarquer une différence de prix évidente qui n'est pas, à première vue anormale sachant que le principe de concurrence s'applique. Mais si on y réfléchit bien, il s'agit ici d'un produit issu du marché solidaire et par conséquent, les producteurs ont les mêmes revenus quelque soit le prix de vente final. Concrètement, ça veut dire que le distributeur fixe librement sa marge. Quand on achète du café du commerce équitable, on l'achète pour deux raisons : pour sa qualité et parcequ' éthiquement, c'est important. Ici, Carrefour vend ce café 1,30€ plus cher qu'Intermarché (environ 8,50 francs - ENORME). Nous faisons un choix responsable en pensant faire profiter des gens dans le besoin, alors qu'en réalité nous enrichissons toujours les mêmes. Il n'y a que le consommateur qui a une conscience. Et cerise sur le gâteau, Carrefour nous fait croire que l'on fait une bonne affaire si on possède la carte de fidélité en faisant passer le prix de 4,29€ à celui de 2,57€. Or c'est tout sauf une bonne affaire, c'est tout le contraire! Carrefour affiche en toute transparence et fierté la marge minimum qu'il se fait, c'est à dire 1,72€ soit plus de 11 francs. En fait, carrefour nous insulte et on sourit. C'est écoeurant! On y voit que du feu. Tout cela me fait rire quand j'entends que les grandes surfaces "baissent" les prix malgré la conjoncture difficile et les cours des matières premières qui flambent, ils peuvent largement se le permettre.
Quel est le sens à tout cela? A qui cela profite? A vrai dire je n'en sais rien, mais ça me débecte. Si on ne fait pas plus attention à ce qu'on achète, on ne cautionne pas seulement que les "mauvais" producteurs (cultures et élevages intensifs), on cautionne un commerce abusif et malheureusement, les employeurs des français...

2 mai 2008

être ou avoir?

Qui peut prétendre que l'argent ne contribue pas au bonheur? Une personne peut-elle être heureuse dans la pauvreté? Une personne riche est-elle forcément (plus) heureuse. Les questions demandent réflexion. Cela dépend des cas évidemment et surtout ce qu'on met derrière le mot bonheur. Est-ce la liberté, l'amour, le confort, la santé, l'altruisme, la religion, la famille, l'opulence...? Peut-être un peu de tout ça.
Certains pensent qu'il y a une hiérarchie dans la notion de bonheur et d'autres le contraire, que chacun a ses propres aspirations, priorités et satisfactions. Difficile de ne pas se prononcer sur le dernier achat du voisin ou le mode de vie du collègue et pourtant, nous savons tous que nous sommes différents les uns des autres et qu'il n'est aucunement acceptable de porter un jugement de valeur sur le choix des autres. Nous sommes toujours le plus heureux d'un autre.

 

Régulièrement, je me pose la question de savoir si je suis heureux ou pas. Ai-je le droit de me plaindre ou dois-je m'estimer comblé? D'emblée, la réponse serait oui. En effet ma situation est appréciable: je vis dans un pays au régime (à priori) démocratique, je suis rémunéré au dessus du SMIC, j'ai environ 15 semaines de vacances par an, je (ne) suis ( que) locataire d'une charmante maison en campagne, je vis le parfait Amour, je suis en pleine forme, je suis entouré etc etc. Que de demander de plus? Je suis heureux parce que j'ai trouvé mon équilibre, j'ai réuni les conditions pour que ma vie se déroulent bien et parce que je sais aussi que d'autres personnes n'ont pas ma chance. Ma position est à la fois personnelle et sociale. Alors effectivement, je n'ai pas le doit de me plaindre. Mais dois-je vivre avec les mêmes ressources et dans les mêmes conditions toute ma vie? Dois-je m'en contenter ou chercher à avoir plus?  Je crois que la recherche d'équilibre est perpétuelle parce que nous évoluons avec les autres et par les autres (comparaison et adaptation aux autres essentielles) mais aussi parce que la monotonie c'est mourir à petit feu.  "Nous voulons plus pour être plus, pour être mieux avec nous même", ce qui est honorable mais malheureusement, dans notre société, "nous voulons plus pour paraître plus ou croire qu'on est plus". On se trompe souvent de satisfactions. Or la vraie quête est l'épanouissement personnel, sa propre cohérence et en aucun cas l'assouvissement d'une convoitise dictée par la société. Cette dernière ne doit servir seulement que de repère permettant de relativiser quand on éprouve des frustrations et non le contraire. Ce sont les notions de décence, de morale et d'éthique qui devraient apparaître quand on se compare aux autres et non les notions de jalousie, d'envie, d'injustice ou de privation. Finalement, qu'est-ce qui est important dans la vie, être ou avoir? Etre à travers des attitudes ou être à travers des choses? Le bonheur ne se quantifie pas, ne se voit pas, le bonheur se vit. Réfléchir à ce qui est essentiel à sa vie me semble très important.

 

C'est toujours plus facile à dire, qu'à faire. Notre relevé bancaire nous le prouve chaque mois.

 

Des films pour mieux réfléchir : 2 jours à tuer (actuellement au cinéma) et Into the wild (bientôt en dvd)

1 mai 2008

Anniversaire

Mai, 40 ans après.... rien a changé ou presque

29 avril 2008

Ce monde

Notre monde marche sur la tête. Je le sais et je ne m'y fais pas.

Notre société fonce droit dans le mur. Il y a des gens qui le savent et qui s'en fichent, d'autres, comme moi, qui le savent et qui ont vraiment peur. Nos aïeuls n'auraient jamais imaginé, même dans leurs rêves les plus fous, une vie comme la notre. La France du début du XXe siècle, qui n'avait déjà rien à envier au reste du monde, nous parait si misérable à nos yeux. La vie que nous menons aujourd'hui n'est rien d'autre que l'utopie d'hier. Qu'est ce que le progrès? Apparemment une régression. Qu'est ce que le bonheur? Est-ce avoir le choix, le temps, la santé, le confort? Notre société n'a pas su maîtriser ses progrès et va donc à sa perte. Le capitalisme, ce système économique qui consiste à produire plus, à produire mieux que le voisin et faire des économies, touche malheureusement tous les domaines humains : politique, social, sanitaire, culturel ... Mais quelles sont nos priorités? Que voulons-nous vraiment? Où est notre bien? L'homme n'arrivera-t-il jamais à se satisfaire de ce qu'il a? L'opulence, la possibilité de choisir, de posséder ne nous apporteront rien de bon et la France d'aujourd'hui le montre tous les jours: moi, j'en ai rien à foutre du dernier mobile qui fait GPS-internet-TV-appareil-photo ou de la Star-Ac' ou que la couleur de mes post-it soit rose saumon. Ca me fait chier de voir de la nourriture jetée et donc produite pour rien alors que des gens n'accèdent même pas à ce besoin vital. Ca me fait chier d'avoir le choix entre l'inutilité et la superficialité, d'être harcelé pour consommer. A quoi ça nous sert? A rien ou du moins, pas à nous rendre heureux et encore moins libres. La Liberté, nous la bafouons au quotidien. Ca rend les gens cons, aveugles, naïfs, asociaux, apolitiques, fermés, égoïstes et irrespectueux. Croient-ils que tout leur est acquis? Ou va le monde? Il n'y a plus d'éthique et la dignité humaine ne s'en voit que plus stigmatisée. Je suis profondément dégouté, honteux et révolté. Les films "We feed the world", "Le cauchemar de Darwin" et "Une vérité qui dérange" montrent parfaitement que notre monde est ignoble. On produit des biens qui deviennent obsolètes, inutiles, périmées qu'on devra renouveler: En gros, on produit du vide, on travaille pour produire ce vide, on achète du vide, on tourne à vide, sur le dos des pauvres et avec les richesses de la nature.

Je fais partie du système, comme tout le monde et je suis bien loin d'être dénué de tout reproches: Je suis le premier à acheter des tranches (!) de blanc de dinde fumées, des chaussures fabriquées en Chine ou à prendre l'autoroute mais je n'ai pas les moyens de lutter efficacement et systématiquement. La conscience est lourde de culpabilité et à la fois, je n'ai pas à endosser ce qui n'est pas uniquement de mon ressort. L'hyper-complexité du problème rend la situation insoluble et personnellement, je pense que le chemin parcouru depuis des décennies ne peut-être rebroussé même si je crois foncièrement au développement durable: le bio est une des clefs. Que ma pomme soit petite, ratatinée avec des taches est évidemment moins attirante qu'une belle pomme de supermarché mais d'où vient-elle? Elle vient d'un producteur local qui a attendu l'automne pour la produire, qui a eu le mérite de la préserver des attaques bactériologiques, météorologiques ou parasitaires pour la cueillir au bon moment. Et je préfère payer cette pomme à sa juste valeur plutôt qu'une putain de pomme certes avec du goût (enfin parfois) qui a fait plusieurs centaines de km après avoir été ramassée à la machine dans une serre et traitée tout au long de sa croissance. Ne parlons pas de la viande. Le bio permet de rendre le travail noble et utile, de retrouver des valeurs comme la solidarité, l'amour, la patience, la tolérance, de protéger la nature. On ne produit et ne consommons que ce dont on a réellement besoin. Je ne dis pas qu'il s'agit de la solution miracle mais commençons par prendre conscience, ensemble  pour au moins essayer de ralentir les évènements.

50 ans comme çà...J'ai peur donc je rêve



7 avril 2008

ma Muse

Comment parler de moi sans parler de Marie? La vie s'est complètement métamorphosée depuis qu'elle est y est entrée. Sa rencontre est arrivée à point, de façon si inattendue et à la fois si logique : arrivant à la fin d'un cycle et sentant mûrir en moi une volonté de changer profondément, je pus enfin capter les infimes phéromones émanant d'Elle. Il m'a fallu seulement quelques jours pour tomber follement amoureux et m'apercevoir  que ce n'était pas seulement du désir mais un besoin. Marie, une révélation qui a su ,bien malgré elle, exacerber ma curiosité, ma sensibilité, me rendre adulte, libre et sociable. Depuis, la léthargie dans laquelle j'étais plongé depuis mon enfance se dissipe toujours un peu plus chaque jour. Maintenant, je prends conscience de la vie et de sa richesse (et de fait, de ses limites). Marie est à Samuel, ce que Gala est à Dali...
J'admire sa force de persuasion, son intelligence, sa cohérence, sa droiture, son éloquence, sa poésie, sa légèreté, son engagement, sa psychologie, ses expériences, son courage. Autant d'éléments de son humanité qui, lorsqu'ils sont perçus à leur juste valeur, rendent Marie une personne formidable, précieuse et indispensable dans sa vie.
Marie, mon utopie faite femme.

4 avril 2008

Utopie...

Utopie...Qui ne rêve pas d'un monde meilleur? Meilleur pour soi, pour les autres. Moi, je n'arrête pas.  Parfois loin de la réalité ou du réalisable, on sait se faire mal. "Un utopie qui se borne à décrire un rêve  irréalisable est plus néfaste qu'utile; le fossé entre le réel vécu dans l'instant et le souhaitable imaginé pour plus tard apparaît définitivement infranchissable. Tous les abandons sont alors justifiés, tous les projets se heurtent à la lâcheté des "à quoi bon?"" (Albert Jacquard in Mon Utopie)

Quel intérêt de faire un blog? Garder trace pour me rappeler à l'ordre ou me soulager de mes pensées et de les partager avec qui veut? Je n'en sais trop rien. Passant par une période difficile, je vais toutefois tenter de ne pas être trop pessimiste. Faire de ce blog un recueil des mes attentes, de mes inspirations, de mes états d'âme ou de mes préférences à travers des récits, des photos, des vidéos, des citations, des musiques n'est évidemment utile que pour moi.

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